Les droits du concubin

La loi israélienne octroie au concubin survivant les mêmes droits que s’il était marié au défunt, le tout, à
condition qu’aucun d’entre eux (défunt/e ou concubin/e) n’était marié légalement à une autre personne, au
moment du décès.
Il aura également le droit d’assigner la succession en demande de pension alimentaire, si les conditions
prévues par la Loi, à cet effet sont remplies.
Notons que ce droit de revendiquer sur l’actif succession une allocation alimentaire peut être mise en œuvre
pour tout héritier (notamment l’époux survivant pendant son veuvage, les enfants jusqu’à l’âge de 18 ans/23
ans) qui, au moment du décès était à sa charge du défunt